FRANZÖSISCH LESEVERSTÄNDNIS C1 TEST Gratis Probelektion SO FUNKTIONIERT DER FRANZÖSISCH LESEVERSTÄNDNIS TEST C1 Der Test besteht aus Multiple Choice Fragen. Nur eine Antwort ist jeweils korrekt. Der Test ist in verschiedene Teile aufgeteilt. Bearbeiten Sie den Test ohne Unterbrechung. Bearbeiten Sie den Test ohne Hilfe. Sie müssen 7 Punkte erzielen, um zu bestehen. Der Test ist kostenlos. AGB lesen und akzeptieren. Wir wünschen Ihnen viel Erfolg! Französisch Leseverständnis C1 Texte 1: Extrait de Mars ou la guerre jugée d’Alain (Émile-Auguste Chartier), Partie XI Œuvre publiée en 1921 Leurs parents partaient élever des chèvres à la campagne. Les cadres d’aujourd’hui quittent leur entreprise pour ouvrir des maisons d’hôtes. Crise de l’âge adulte ou choix rationnel ? Pour dissuader ses lycéens de faire les Beaux-arts, l’École du cirque ou un diplôme d’arts du spectacle, un proviseur avait coutume de leur raconter cette histoire : « J’avais deux copains. Ils adoraient tous les deux la montagne. Chaque fin de semaine, ils partaient ensemble en randonnée dans les Alpes. Le bac en poche, le premier d’entre eux choisit d’en faire son métier. Il devint guide de haute montagne. Aujourd’hui, il gagne difficilement le salaire minimum. Les randonneurs sont rares, et souvent médiocres. À mi-parcours, il doit souvent faire demi-tour. Les sommets, il ne les voit jamais. À 40 ans, il est usé. Mon second copain fit des études de commerce. Il est devenu directeur financier dans une grande entreprise. Chaque vendredi, il s’envole vers les plus beaux sommets d’Europe. Il s’offre les meilleurs guides, gravit les montagnes, s’épanouit… Lequel des deux assouvit le mieux sa passion ? ». Grâce à cette anecdote, le proviseur s’enorgueillissait de n’envoyer aucun bachelier vers des filières bouchées. Seulement voilà : depuis trois ans, le proviseur se fait plus discret. Car l’histoire a pris un tour inattendu. Le directeur financier, sans doute moins heureux qu’il l’affichait, a tout abandonné : son travail, son entreprise, sa vie parisienne et son appartement cossu. Il a ouvert un gîte de randonneurs en Haute-Savoie… Ses enfants l’ont traité de fou. Lui se déclare enfin « en phase » avec lui-même. Ce cas n’est pas isolé. Il suffit de se promener dans une campagne française pour prendre la mesure du phénomène. Des panneaux « chambres d’hôtes » ont fleuri partout le long des routes. En vingt ans, leur nombre est passé de 4500 à plus de 30 000, selon la direction du Tourisme du ministère de l’Emploi, qui ne recense que les maisons d’hôtes labellisées par les principales organisations touristiques. Et chaque année, 2500 Français créent un gîte rural, une aventure pourtant risquée. La fin des parcours linéaires Plus qu’à un changement de métier, c’est à un changement de vie auquel aspirent ces individus. Citadins pour la plupart, ils ont entre 30 et 50 ans, avec une tendance au rajeunissement ; ils sont « installés » sur le plan professionnel, en couple ou seuls. Ils se disent prêts à quitter travail et confort, à s’éloigner de leurs amis, à « gagner moins pour vivre mieux ». Une fois leur projet abouti, ils parlent de liberté, d’harmonie, de renaissance. En kiosque depuis le 1er mars, le magazine Changer tout résume l’ambition de leur reconversion. « Nous avions l’intention d’appeler ce journal Changer de vie, révèle sa fondatrice. Mais au dernier moment, nous nous sommes rendus compte que ce titre était déjà déposé par un producteur de télévision. » L’anecdote est révélatrice. Le changement personnel, valorisé depuis une trentaine d’années, serait-il devenu une incantation collective ? Pour la sociologue, auteur de Reconversions professionnelles volontaires, ce mouvement est à la fois individuel et social. Certes, l’individu, actif et volontaire, est le seul initiateur de sa reconversion. Mais la société, en érigeant en diktat le changement et la « vocation de soi », en fait une expérience sociale. Ce phénomène, poursuit la sociologue, résulte à la fois de la crise de l’emploi, qui encourage chacun à être plus mobile, et d’un bouleversement des valeurs qui cimentent la société : « Jusqu’aux années 1970, le projet de vie des individus était surtout construit à partir des catégories de la famille heureuse, de l’accession à la propriété familiale. Aujourd’hui, il est davantage question de réalisation de soi, de quête de l’identité personnelle. » Le mythe du retour aux sources, l’engouement écologique, le rejet des transports en commun et des rythmes professionnels épuisants peuvent aussi constituer de puissants ressorts. L’effet « autocuiseur » Si sept millions de citadins rêvent de refaire leur vie aux champs, tous ne passent pourtant pas à l’acte. « Il y a toujours un événement déclencheur », constate la directrice de Changer tout. Elle-même a quitté Paris et son poste de directrice de la rédaction d’un magazine télé, il y a neuf ans, pour fonder sa propre agence dans le Gers. « Mon fils, allergique à la pollution, a fait une crise d’asthme terrible, se souvient-elle. En quinze jours, j’ai tout vendu, et je suis partie m’installer dans le Gers. » Une sociologue, qui a réalisé une enquête qualitative, utilise la métaphore de l’autocuiseur pour caractériser ce « scénario de crise » qui conduit l’individu à une remise à plat de son expérience. Une crise survient à l’issue d’une période de quelques mois, pendant laquelle la pression – professionnelle, familiale ou existentielle – ne cesse de monter. Une dispute avec un patron peut faire « sauter le couvercle ». Des événements privés – séparation, naissance, deuil ou problème de santé – peuvent aussi jouer un rôle clé dans la reconversion. « L’importance du changement opéré provient de ce que cette crise traverse diverses sphères de la vie, les contamine mutuellement […]. Ici, tout est mêlé et accéléré », souligne la sociologue. Il n’est guère étonnant, dès lors, que la bifurcation professionnelle et le déménagement prennent des allures de « conversion identitaire ». Elle oblige à une réflexion sur soi-même et à un inventaire des possibles. Le sujet négocie avec lui-même le prix de sa liberté. Cette introspection est un préalable à la planification de son projet, alors vécu comme un choix positif. Le coût de la liberté Il reste un mystère : pourquoi l’ouverture d’une chambre d’hôtes reste le fantasme premier des Français qui souhaitent changer de vie ? Il existe après tout mille manières de refaire sa vie : partir à l’étranger, faire de l’humanitaire, passer un concours de la fonction publique, se lancer dans une carrière artistique… Dans Changer de vie. Se reconvertir, mode d’emploi, les deux auteures donnent des indices. À partir de récits de vie, elles dissèquent les motivations des candidats à la reconversion professionnelle. Elles établissent cinq catégories : se mettre au vert, se mettre à son compte, se consacrer aux autres, vivre sa passion, partir loin. Quelle activité, sinon l’hébergement touristique, permet de conjuguer toutes ces motivations ? Pour se lancer, il est préférable d’avoir quelques finances et un bon carnet d’adresses. Avec une rentabilité de 1500 à 3000 euros par chambre et par an, l’aventure tourne parfois court. D’où un tout nouveau phénomène. Forts des expériences, parfois malheureuses, de leurs aînés, certains jeunes anticipent. Dans les écoles de commerce, dans les couloirs de places financières, il arrive aujourd’hui de croiser de jeunes adultes de 20 ou 25 ans qui prévoient d’ouvrir une maison d’hôtes « dans une quinzaine d’années ». Une crise du milieu de vie en somme inscrite dans leur plan de carrière. Héloïse Lhérété, Sciences Humaines 1) Quel est le but d'Alain dans ce texte ? Analyser et expliquer la peine de mort dans un contexte de guerre. Défendre la peine de mort dans un contexte de guerre. Donner les points négatifs de la guerre. Analyser et critiquer la peine de mort dans un contexte de guerre 2) Quel est le risque si l'on n'accepte pas la peine de mort pour les déserteurs ? Le risque est grand de voir partir ses soldats hors des zones de conflit. Les déserteurs pourraient aller dans le camps ennemi. Les déserteurs pourraient se plaindre. Les déserteurs pourraient trahir son propre camp. 3) Celui qui ne fait pas la guerre a tendance à croire que 3 points. les soldats n'ont aucune pitié pour l'ennemi les soldats n´ont pas d´amis les soldats pensent seulement au combat les soldats sont fous de vouloir se battre 4) Quelle est l'idée essentielle défendue par Alain ? La peine de mort pour les déserteurs constitue un acte inadmissible. La peine de mort pour les déserteurs constitue le seul moyen pour les officiers supérieurs d'imposer leur autorité. La peine de mort pour les déserteurs constitue le seul moyen de ne pas avoir de troupes exsangues. La peine de mort pour les déserteurs dépend de chacun. 5) « […] l'art militaire a bientôt durement rappelé ses règles séculaires [...] » signifie que les commandants militaires appliquent les mêmes règles depuis longtemps par traditions militaires. les commandants militaires appliquent les mêmes règles depuis longtemps car elles ont fait leurs preuves. Les commandants militaires doivent changer les règles à chaque combat. les commandants militaires appliquent les mêmes règles depuis longtemps, en vain. 6) Qu´est-ce qui est plus fort que la peur de la guerre pour un soldat ? Etre blessé La perte de ses amis La vengeance La condamnation à mort 7) Les soldats refusent l´autorité supérieure souvent toujours quasiment jamais jamais 8) Comment les soldats délaissent-ils le champ de bataille ? En écrivant une lettre à un supérieur En s´échappant en secret du champ de bataille En demandant l´autorisation à un supérieur En inventant quelques prétextes 9) En quoi l´art militaire déshumanise les soldats ? les soldats deviennent plus faibles l´homme est toujours moyen et outil Les soldats ne pensent qu´à la guerre les soldats n´ont plus de contact avec les civils 10) Qu´est ce qu´un fantassin? Un soldat d´infanterie Un soldat de marine Un général Un supérieur Vorname / Name * E-Mail * Falls Du menschlich bist, lasse dieses Feld leer. 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